Con el filme “Gainsbourg (Vida de un héroe)” el polifacético Joann Sfar ya demostró su interés por los grandes clásicos de la música gala. De vuelta a su territorio natural, el cómic, dedica este volumen a la figura de Georges Brassens y lo hace con su habitual desparpajo narrativo, incorporando datos biográficos del personaje, recuerdos personales y un universo fantástico cercano a la fábula.
Completan la edición una serie de textos a cargo de críticos como Juan de Pablos, Dildo de Congost, Patricia Godes y Vicente Fabuel.
c0 GeorgesAlors la, carre9ment il attigec7a cocemnme e0 trop grandir vous dis-jeIl n'a pas le droit de me faire e7aNon, il n'a pas le droit.Car de8s que j'ouvre les paupie8resEt que je fredonne un petit airC'est Castibelza Ou bien l'auvergnat Non, il n'a pas le droit.Non mais en voila des manie8resOn a bien dit que t'e9tais mort, pe9pe8reAlors si c'est vraiFous moi donc la paixQue moi je vive en paix.Ne viens pas sonner chez les mortelsElle est un peu grosse ta ficelleFais toi oublierEt va culbuterLes dames du temps passe9.Non content d'avoir fait pleurer la FranceEn mourant comme un sans importance Faudrait pas pousserEt tes me9lope9esCommencent e0 m'agacer.Je les ai toujours au bord des le8vresc7a me fait comme une grosse fie8vreUne maladieC'est pas, je te le dis Un petit coin de Paradis .Car en plus, je les connais toutesMais e7a, j'ai bien peur que tu t'en foutesEt sacre9 bravacheFaut pas que je me le cacheTu ris dans tes moustaches.Car tu as plante9 dans ma cabocheDes fa, double die8se et puis des crochesEt puis des mi, doJ'en ai plein le dosCe n'est pas un cadeau.Tous les deux ans, tu m'aidais e0 vivreEn sortant des chansons qui enivrentC'e9tait tellement beauT'avais de ces motsEspe8ce de chameau.Tu connaissais l'amour, la tendresseTu connaissais la beaute9 des fessesLe gofbt du pinardLe divin nectarEt le bal des 4 z'arts.Of9 veux tu maintenant que je trouveUn poe8te qui ressente et e9prouveToute la beaute9Toute l'amitie9Mais pour te retrouverJ'irai dormir sur les bancs publicsJe me taperai la femme d'un flicJe dirai des juronsJ'aurai l'air d'un conDans toute ma re9gion.c0 Margot, je fouillerai dans son corsageTant pis pour les chats du voisinageY z'ont d'je0 perduComme moi ces tordusLeur planche de salut.